Coaching reconversion

Coaching de reconversion Humaniste

Des solutions pour vous !

Le coaching est un accompagnent qui s’intéresse à la personne humaine dans sa globalité. Celle-ci est challengée pour prendre la responsabilité de ses actions, de ses modes d’organisation, de ses choix, des effets de ses comportements dans l’environnement de l’entreprise. Par un questionnement ciblé et précis il sera possible d’identifier ses compétences, ses pouvoirs d’action, ses potentialités. Ce processus permet de faire émerger les vrais obstacles humains pour avancer dans son projet de reconversion. Ne pas se poser la question de « qui on veut devenir », dans quel écosystème professionnel on est heureux, quelles sont les stratégies d’échec inconscientes, implique un risque de voir les anciens schémas resurgir et de voir le projet de reconversion échouer même si une formation nouvelle a été réalisée, un mode de financement obtenu et un nouveau métier ciblé. Il s’agit d’une « opportunité » d’évoluer en tant que personne en même temps que d’avancer dans le projet qu devient la source de motivation pour, justement, opérer cette évolution intérieure.
Les entretiens se déroulent en face à face, par téléphone ou visio. Un contrat d’accompagnement est signé entre le coach et le coaché. Les séances sont espacées en général de 2 semaines et durent 1 heure. Un plan d’action est initié pendant l’entretien par le coaché qui s’engage à la réaliser dans la mesure de ses possibilités. Le coach n’est pas tenu responsable des résultats obtenus par son client.

Les 12 étapes de l’accompagnement

Cadres, collaborateurs, salariés, vous  travaillez dans une entreprise ou un grand groupe et vous voulez être en phase avec vos valeurs, rebondir après un licenciement, avez envie d’apprendre à nouveau, corriger une erreur de parcours

♦ Solution : Définir les critères écologiques concrets du futur métier : lieu géographique, cadre relationnel, culture d’entreprise, contraintes physiques, aspects financiers, perspectives d’évolution, tâches à réaliser, formation requise, environnement matériel.

Clarifiez la cohérence de votre parcours de vie : vous avez différentes expériences professionnelles et extra-professionnelles et vous vous demandez quel est le fil rouge.

Solution : Formation initiale, 1ère carrière, hobby extra-professionnel, activités personnelles, investissement associatif, pratique d’une passion, déclic professionnel sont autant d’étapes possibles pour s’accomplir.

Faites « matcher » vos aspirations avec les valeurs de l’entreprise : vous ne vous sentez pas à l’aise ou vivez un burn-out dans votre entreprise, les relations avec votre hiérarchie se sont dégradées, les tâches qui vous sont assignées vous irritent.

♦ Solution : mettez le doigt sur vos valeurs phare, aménagez votre lieu de travail changez de poste, changez d’entreprise, de lieu géographique, de missions pour être en accord avec votre identité profonde;

Déjouer les croyances limitantes qui vous empêchent de passer à l’action : « je suis trop âgé.e pour envisager changer de métier », « je risque de me retrouver à la rue », « une formation est indispensable pour évoluer professionnellement », « je ne suis pas capable de repasser des entretiens d’être embauché.e »

♦ Solution : créez de nouvelles croyances dynamisantes plus en phase avec vos aspirations, passez à l’action en réorganisant vos compétences et en redéfinissant votre posture.

Évoluer dans une PME, startup ou grand groupe où le rythme de travail, les valeurs et idées propres à l’entreprise, les outils proposés, les relations avec les collègues, le lieu géographique, les horaires, les perspectives d’évolution ne vous conviennent plus. La situation est est énergivore et peut devenir à termes, toxique.

♦ Solution : définissiez une nouvelle vision d’avenir personnelle et unique de la zone géographique que vous aimez, la taille d’entreprise qui vous convient, la proximité des relations qui vous épanouissent (en équipe, en télétravail, itinérant, en atelier).

Avancer avec rapidité ou avec force sans être connecté.e à ses émotions peut engendrer un sentiment de lassitude, de surmenage, de démotivation et aller jusqu’au burn-out. Ignorer ses émotions ou se laisser déborder, et ne pas savoir composer avec la peur de l’échec, la culpabilité d’avoir raté l’étape d’un projet, la colère vis-à-vis de son manager, la honte de présenter devant ses collègues a des répercussions sur la santé et sur la sphère familiale.

♦ Solution : développer son intelligence émotionnelle : réorganiser son travail, bâtir un projet de reconversion, choisir des compétences à apprendre pendant une formation, aller vers une nouvelle entreprise en s’appuyant sur des émotions d’enthousiasme, de joie, de fierté permet de générer un bon carburant vital sur le long terme.

Obéir aux règles de l’entreprise, aux directives du N+1, sans être relié profondément à un sentiment de contribution peut engendrer une robotisation des tâches et du rythme de travail.

♦ Solution : le sentiment d’utilité, adhérer à une cause, choisir des missions en fonction de ses capacités et compétences au service d’un but qui nous dépasse est une bonne manière d’identifier sa mission de vie professionnelle.

Réaliser des procédures fait partie des modes de fonctionnement indispensables d’une entreprise. Le manque de changement et l’automatisation excessive génèrent un faux sentiment de travail bien accompli. Un immobilisme ou un blocage dans ses fonctions ou son niveau hiérarchique peuvent s’installer pendant de longues années.

♦ Solution : identifier ses compétences, connaissances et savoirs être (ou hard-skills et soft-skills) et savoir en parler, engendre une meilleurs connaissance de soi, provoque un sentiment de confiance, permet de faire face aux incertitudes liés au changement et d’arrêter de procrastiner.

Vous avez identifié avec succès les tâches et missions qui vous rendent heureux.se, vous aimez votre travail, vous avez des perspectives d’évolution dans l’entreprise, et en même temps votre planning est surchargé, vous vous sentez fatigué.e, vous ne faites plus face.

♦ Solution : optimiser sa journée type, développer des capacités de leadership, choisir un poste où les tâches qui vous plaisent sont prépondérantes, prioritaires, voire exclusives, se former pour acquérir les blocs de compétences manquants sont autant de stratégies pour être heureux dans son travail.

Lorsque l’envie de reconvention, d’évoluer en interne ou de changer d’entreprise émerge le salarié est confronté au besoin de faire un point sur ses besoins. Se lancer dans une formation ou proclamer une reconversion à son manager lors de l’entretien professionnel sans avoir identifié ses nouveaux besoins peut engendrer une répétition des facteurs d’échec que le salarié veut justement éviter (manque de stimulation intellectuelle, besoin de reconnaissance ou de sécurité).

♦ Solution : un besoin personnel identifié implique des choix de formation et de pistes métiers complétements différents et porteur d’un sentiment de congruence ; privilégier une « soif de cadre », « un besoin d’appartenir à une entreprise en accord avec ses valeurs », « la nécessité impérieuse d’apprendre de nouvelles connaissances » nourrissent un projet et son porteur.

Parce que vous avez baigné dans des environnements professionnels, scolaires, familiaux spécifiques, vous avez intégré des messages contraignants : devoir être très (trop) précis dans son métier, devoir avancer coûte que coûte face aux objectifs imposés (au prix de sa santé), faire plaisir en permanence à son manager (et se faire toujours passer en second), devoir faire toujours plus vite et plus, se sentir adéquat qu’à condition d’avoir beaucoup (trop) travaillé, mettre la barre de plus en plus haut avec le sentiment de ne jamais en faire assez, se coucher le soir épuisé et avec un sentiment de manque. Ces « drivers », lorsqu’ils restent inconscients, s’amplifient avec le temps et aboutissent à un excès de méticulosité, un manque de discernement dans le choix des relations, une volonté de performance destructrice.

♦ Solution : déjouer le perfectionniste, donner au bourreau de travail la possibilité de se reposer, sont autant de manières écologiques de travailler sans perdre en quantité et en gagnant en qualité.

10 ans ont été nécessaires pour « faire ses preuves » dans le grand groupe ou la PME où vous êtes. Avoir un salaire stable et sécurisant tout en faisant partie d’une entreprise qui correspond aux aspirations est une étape franchie. A ce moment-là, un sentiment d’insatisfaction, une envie de changement, parfois même des pensées de dévalorisation peuvent apparaître. Cela est tout à fait normal car l’estime de soi a besoin d’être nourrie.

♦ Solution : choisir une formation adaptée à une nouvelle étape de vie professionnelle, redéfinir les priorités professionnelles, basculer en tant qu’indépendant, aller vers la transmission des compétences acquises (posture de formateur) concourent à un niveau supérieur de réalisation de soi.

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